Nico le joggeur violeur a encore frappé

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Toulouse (AFP) - Quatre ans après le meurtre de la joggeuse Patricia Bouchon en février 2011, près de Toulouse, l'enquête qui a mobilisé des dizaines de gendarmes pourrait enfin faire un bond avec la présentation lundi d'un suspect au juge d'instruction.

Le procureur de la République de Toulouse, Pierre-Yves Couilleau, a annoncé une conférence de presse ce lundi vers 16H30 sans commenter l'information du site internet Premium de La Dépêche du Midi indiquant qu'un "homme âgé de 35 ans" était présenté chez le juge d'instruction en charge du dossier.

"Ce suspect avait été auditionné une première fois en octobre 2011 dans le cadre des investigations des enquêteurs", a indiqué une source proche du dossier à l'AFP. "Il a ensuite été placé en garde à vue en janvier et, en juin 2014, après avoir été reconnu par plusieurs témoins comme l'homme du portrait-robot diffusé en 2013", a-t-elle ajouté.

L'homme a été interpellé tôt lundi près de son domicile à Bouloc. Ayant déjà été en garde à vue près de 48 heures depuis janvier 2014, le suspect devait être déféré "dans les plus brefs délais" au parquet, puis au juge d'instruction en vue d'une mise en examen, a expliqué une autre source proche du dossier.

Patricia Bouchon, 49 ans, secrétaire dans un cabinet d'avocats toulousains et mère de famille sans histoires, était partie le 14 février 2011 vers 04H30, comme chaque matin, faire son jogging autour de Bouloc, à 25 km au nord de Toulouse.

Cette femme mince de 1,60 m et 50 kg, aux cheveux châtains clairs, n'est jamais revenue. Son corps a été retrouvé un mois et demi plus tard dissimulé dans un conduit d'eau sous une petite route à 14 km de chez elle.

Patricia Bouchon avait eu les vertèbres et le crâne enfoncés par des coups. Son meurtrier avait aussi essayé de l'étrangler, mais n'aurait pas abusé d'elle.

Dans cette affaire, plus d'une dizaine de personnes avaient été placées en garde à vue par les gendarmes de la section de recherches de Midi-Pyrénées, puis mis hors de cause.

- Les indices et le portrait-robot -

Peu après sa disparition, les enquêteurs avaient trouvé sur la scène de crime -un petit chemin près de Bouloc- un chouchou et une boucle d'oreille de la victime, portant une empreinte inconnue. A la découverte du corps, ils avaient trouvé un gant en latex enfoncé dans sa gorge.

Les enquêteurs ont travaillé sans relâche pour identifier le meurtrier à partir de témoignages, d'un ADN partiel, de traces de pneus et d'un portrait-robot.

Ce portrait-robot d'un homme de 35-40, mal rasé, coiffé d'un bonnet, avait été établi dès le début de l'enquête, mais ne devait être diffusé qu'en octobre 2013, car il n'arborait pas de signe distinctif et était considéré comme fragile. Une centaine d'appels avaient alors été recueillis jusqu'à la fin 2013.

Ce portrait repose sur le témoignage d'un automobiliste qui avait remarqué une Renault Clio de première génération immobilisée, sans lumière. Il avait aperçu le conducteur à la lumière de ses phares, vers 04H30 cette même nuit sur une petite route proche du lieu de disparition de Patricia Bouchon.

L'avocat de la famille de Patricia Bouchon, Me Stéphane Juillard, n'a pas souhaité évoquer les éléments qui ont permis de remonter jusqu'au suspect depuis sa première audition. "Il a fallu faire des recoupements, cela nécessitait du temps", a-t-il simplement déclaré.

"C'est un moment important de l'enquête pour la famille de Patricia Bouchon", a souligné l'avocat, interrogé par l'AFP, en évoquant l'interpellation du suspect et une possible mise en examen.

"Nous restons mesurés, prudents, car il y a eu tellement de rebondissements, tellement de déceptions dans cette affaire", a-t-il ajouté.

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